MerveilleuseChiang-Mai

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RESTAURANTS FRANCAIS

 

RESTAURANTS FRANÇAIS (suggestions) :

 

 

 

Dans les présentes pages les restaurants français brillent par leur absence, c'est vrai. Pourtant Chiang-Maï n'en manque pas. Oui, mais la quantité d'établissements est une chose et la qualité de la cuisine en est une autre.

 

Pour être franc, je ne vais que très rarement dans les restaurants occidentaux. D'abord parce que les plats qui y sont servis relèveraient plus du ''fast-food'' et du plat réchauffé que la ''cuisine'',  ensuite parce que leurs prix visent une clientèle touristique et que je suis habitué, en tant que résident, à payer le juste prix.

 

 

Cependant j'avais l'intention d'en présenter au moins deux, dans l'une de mes chroniques, parce que les échos que j'en avais étaient pour l'un très favorables et pour l'autre un peu moins, à cause de son accueil manquant de chaleur et de convivialité !....

 

Et puis la rencontre avec un Français, vivant à Chiang-Mai de longue date, me fit prendre le taureau par les cornes. Car celui-ci, en cours de conversation, me demanda à brule pourpoint, et non sans malice, ''pourquoi ne parlez-vous pas des restaurants français dans votre blog ?... ''

 

En quelques mots nous nous sommes aperçus que nous pensions pratiquement les mêmes choses à leur sujet. Mais mon deuxième élu, à en croire ses douleurs intestinales passées, n'était pas à recommander.

 

Faisant confiance à cet homme, j'ai éliminé mon deuxième candidat et je me suis décidé à aller chez le premier, et ... je vous invite à en faire autant. Vous ne serez pas déçu.

 

 

Et puis sur ces entre-faits le message d'Emilio est tombé. Alors j'ai commencé par aller repérer les lieux, que je connaissais. Ils s'appelaient naguère, en 1996 je crois, ''L'éléphant blanc'' et nombre de limonadiers se sont succédés en cet endroit ... sans grand succès !...

 

Alors c'est avec scepticisme, mais néanmoins sans idées préconçues que je me suis rendu à la Terrasse et ... Merci Emilio c'est effectivement une bonne adresse. On y mange très bien, et pour un prix très raisonnable.

 

Pour en savoir plus lire la chronique concernant La Terrasse. Elle est juste après celle de Chez Marco.

 

 

Pour ceux qui recherche à LIRE FRANÇAIS il y avait tout à côté de LA TERRASSE un bar, le BARFLY qui loue ou vend des LIVRES EN FRANÇAIS malgré son ''name'' !...

Attention : Il a changé d'adresse.

Il est maintenant 9/10 Moon Muang road (ถนน มูลเมือง) dans Chiang-Mai intra muros, côté est. Très exactement à 60 mètres de la soï n°1 (sens de la circulation) tout de suite à gauche au fond de la cour.

               

(Attention il n'ouvre qu'à 16 heures !... le patron est Corse ... je crois ?!...)

 

 

 

               

 

CHEZ MARCO

15/7 Loï Kroh Road (ถนนลอยเคราะห) Muang Chiang Mai.

15/7 +66 (0)53-207032 +66 (0) 53-207032

 

Service à la carte, ouvert tous les jours à partir de midi, et jusqu'à tard dans la soirée, sauf le dimanche.

 

Les premiers prix tournent autour de 200 à 300 ฿ (4 à 6 €.) ensuite c'est selon la gourmandise ou la faim de chacun.

(Un café coûte 45 ฿, (1.€.) quelques apéritifs 100 ฿, (2. €.) ce qui fait que ce sont des prix dans les normes.)

 

 

 

Chez Marco il y a une terrasse et une salle climatisée. Les deux endroits sont coquettement agencés et dégagent une atmosphère champêtre de bon aloi.

 

Ce jour là, la salle était pleine à craquer, contrairement aux restaurants voisins, qui eux étaient vides. Et la majorité des clients devaient être des ''khones Chiang-Maï'', c'est-à-dire des indigènes. Autrement dit, Marco n'attend pas le touriste, et les produits qu'il prépare sont frais, car il y a du débit.

 

 

Avant de continuer à passer la brosse à reluire, et histoire de ne pas être trop partial, je vais faire état de quelques critiques négatives. Car il en faut bien quelques unes ... non ?...

 

Ainsi par exemple j'aurai bien aimé qu'il me soit souhaité la ''bienvenue'' et non le ''Welcome'' et que les mots qui font le renom de la cuisine française ne soient pas remplacés par un jargon international à la sauce british. 

 

Lorsque que je lis ''royal Wine'', pour moi, ça fait vin frelaté. Alors que la formule ''Vins royaux'' à tout de suite un autre panache qui fleure bon le terroir et qui donne l'envie d'en boire.

 

Voilà, c'étaient tous les reproches que j'avais à faire !....

 

 

 

La carte de Chez Marco m'a surpris, car le choix ne manque pas, loin de là. Dommage qu'elle commence par une bouteille à 1.500 bahts ; cela peut couper l'appétit à des touristes dépendant d'un petit budget.

 

Car Chez Marco, ces voyageurs peuvent trouver de quoi répondre à leur faim tout en satisfaisant aux plaisirs de la bonne chère.

 

Il y a en effet des plats pour tous les goûts et pour toutes les bourses. Des plats excellents, honnêtement garnis, servis par un personnel sympathique et attentif, et ... cuisinés par le patron.

 

Car c'est Marco qui cuisine, et non pas un Thaï qu'il a formé, comme c'est le cas dans la plupart des restaurants dits ... français.

 

C'est donc du savoir faire et de l'expérience de Marco dont bénéficie chaque client. Le voir aller et venir dans sa cuisine, attentif à tout, est un vrai spectacle.

 

 

Le pain qui accompagne les plats est aussi fait maison. Et lorsque les deux se lient dans votre bouche, il suffit de fermer les yeux pour se croire, un temps durant, dans un petit coin de France, un soir d'été à la fraîche !....

 

 

L'addition ne comportait aucune erreur, et le rendu de monnaie aussi.

 

J'apporte cette petite précision parce qu'à Chiang-Maï les caissiers ou caissières du pays sont sujets aux erreurs. Et à des erreurs qui ne sont pas forcément au détriment du client !....

 

 

En conclusion, méfiez-vous, si vous allez une fois Chez Marco, vous y retournerez maintes et maintes fois ; car ce n'est pas une bonne adresse, mais une excellente adresse.  

 

 

 

 

LA FOURCHETTE

162/2 Phrapokklao road (ถนนพระปกเกล้า)

Tél : +66 (0) 89-8.518.292 � 053-277.482 (Thaï)

Tél : +66 (0) 89-7.585.604 (Français �Japonais �Anglais)

 

Ouvert tous les jours en soirée de 18 heures à 22 heures, sauf le dimanche

 

Le 162 se situe pratiquement entre le Wat Chédi Luang (วัดเจดีย์หลวง) et le Wat Phan Tao (วัดพันเตา) (Celui qui possède un magnifique paon au-dessus de son entrée principale.) mais sur le trottoir opposé.

 

Il y a un trottoir  avec deux Wats et juste en face un trottoir et des boutiques !... où parmi lesquelles il y a ... ''La Fourchette''.

 

 

Rien que le nom de ce tout jeune restaurant met en appétit. Un nom bien de chez de nous, qui surplombe une salle décorée un tantinet ''belle époque'' avec des ... reproductions  ... cela s'entend ... disons même des posters reprenant deux oeuvres de Toulouse-Lautrec, ''Le moulin rouge '' et ''Danse au moulin rouge''.

 

Hélas, un ... ''French restaurant'' écrit juste au-dessous de ''La fourchette'' vient quelque peu ternir l'enseigne et retenir un début de salivation !... alors qu'un ... ''restaurant Français'' aurait souligné ce nom avec tout autant éclat, sinon plus. Et je suis persuadé qu'il aurait été compris par tout le monde, y compris par ceux qui sont originaires de derrière le ''Channel''.

 

Je ne parlerai pas du ''Food at good price'' car rien que le mot food me coupe l'appétit ; il me fait penser systématiquement aux ''Mac Donald'' et compagnies similaires, alors que le mot cuisine est d'une autre classe et qu'il a le don de me mettre en appétit !...   

 

Mais la perfection n'est pas de ce monde, heureusement le cadre et la cuisine du chef font ''presque'' oublier ces petites fautes de bon goût et de respect pour la ...  cuisine française.

 

  

 

La salle est vraiment très agréable, chic et sobre à la fois, chaude et romantique en même temps. Dès votre arrivée un verre d'eau fraîche vous est servi. L'habitude de ce verre de la bienvenue se perd, et c'est bien dommage car c'est un petit ''plus'' qui ne coûte pas cher au restaurateur et une attention que le client n'est pas sans apprécier.

 

 

A l'entrée le plat du jour vous est signalé, ensuite pour composer votre repas il vous faut consulter le menu, car à ''La Fourchette'', la décoration des murs est une chose et la description des plats en est une autre.

 

Le menu n'est pas une encyclopédie, mais un petit livret de quelques pages seulement. Une pour les entrées dont les prix varient entre 60 et 230 ฿ (1,20 et 4,60 €.) ; les potages 75/180 ฿ (1,50 et 3,60 €.) ; les poissons 195/400 ฿ (3,90 et 8 €.) les viandes 160/450 ฿ (3,20 et 9 €.) et les desserts 90/170 ฿ (1,80 et 3,40 €.).

 

Il y a aussi une carte de vins, qui viennent du Bordelais (Merlot) du Chili et d'argentine ... je crois, (780/1290 ฿) (13,60 et 23,80 €.) et du cidre (460 ฿) (3,20 €.) en plus des bières traditionnelles. Le verre de vin est à 90 ฿ (1,80 €.)

 

 

Pour plus de détails : salade verte 60 ฿ ( 1,20 €.) jambon fumé melon 160 ฿ ( 3,20 €.) ... quiche lorraine 150 ฿ ( 3 €.) moules fricassées 160 ฿ (3,20 €.) ... filet de saumon poêlé à l'oseille 260 ฿ ( 3,20 €.) ... crevettes géantes à la crème de gingembre 450 ฿ (9 €.) - boeuf flambé sauce poivre 250 ฿ (5 €.) ... poulet rôti grand-mère 160 ฿ ( 3,20 €.) ... vacherin glacé au cassis 95 ฿ (1,87 €.) ... tarte aux pommes 90 ฿ (1,80 €.) ... poire belle Hélène 90 ฿ (1,80 €.) - crêpes Suzette 160 ฿ (3,20 €.) etc. ... etc. ...

 

 

A votre arrivée il est aussi pausé sur votre table une petite corbeille avec des quarts de pain rond croustillants qui sortent du four ainsi qu'une plaquette de beurre et parfois un gros radis pour vous faire patienter.  C'est deux fois rien, mais c'est rudement bon. On perd l'habitude de ces petits plats simples et délicieux !...

 

Pour la suite ne commandez pas trop vite, la première fois où j'y suis allé en voulant prendre une entrée un plat et un dessert j'ai trop mangé, car les assiettes sont bien garnies, et on ne prend plus plaisir à savourer son dessert.

 

 

Avant d'écrire cette chronique je suis allé ''tester'' trois fois la cuisine de ce restaurant et à chaque fois j'ai été satisfait des plats qui m'ont été servis. Mon seul regret c'est de ne pas avoir trouvé du vrai pain ... bien de chez nous.

 

J'ai toujours appris à manger avec du pain, le pain, même sec, c'est tellement bon !...

 

 

Comme le cuisinier, qui est aussi le patron, n'est pas sans venir dans la salle j'ai été surpris qu'il soit Thaï. Comment un Thaï peut-il cuisiner français aussi bien ?...

 

En fait il n'est qu'à moitié thaï car du côté de papa il serait Suisse. Et papa avec son fils cuisinaient naguère � au coq d'or, le soi-disant très grand restaurant Français de Chiang-Maï, grand de par sa renommée ... et des prix qui en découlent.

 

D'ailleurs il y a dans la salle de ''La Fourchette'' une photo, prise dans ce restaurant, sur laquelle figure le papa et le fiston en tenue de travail avec en face d'eux ... la reine de Thaïlande !...

 

 

Hélas si le papa a su transmettre à sa progéniture une bonne part de son talent il a oublié de lui apprendre la langue de ... Guillaume Tell. Ce qui fait qu'il m'a été difficile de dialoguer avec Amnard Sadrugk (อำนาจ สาทเริก) c'est le nom du maître des lieux, mais je pense qu'il a du comprendre que j'appréciais sa cuisine.

 

Je serai injuste de terminer cette chronique sans dire un mot sur la maîtresse de maison qui elle, parle anglais, japonais et français ... un français un peu hésitant mais un français quand même car il m'a permis de lui parler et de me faire comprendre. Alors n'hésitez pas à lui parler en notre langue histoire de montrer que le Français se parle toujours..

 

 

Bref vous l'aurez compris, si vous aimez manger français c'est un restaurant qui mérite le détour. Les plats sont en nombre suffisant pour répondre à tous les goûts et d'après ce que j'ai pu constater le cuisinier les confectionne tous avec autant de soins et de réussite.

 

 

Les prix sont raisonnables et l'addition est nette et sans surprise. Les plats s'additionnent ... un point c'est tout. Il n'y a pas de suppléments de derrière les fagots.

 

Je rappelle que le restaurant est ouvert depuis seulement quelques mois. Alors il ne tient qu'à vous de lui assurer une longue vie !....

 

En tout cas ... c'est tout le mal que je souhaite à Amnard et son épouse.

 

 

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LA TERRASSE

Depuis le 5 mai 2015 la terrasse a changé d’adresse.

Comme l’ancienne elle est au fond d’une soï

Comme l’ancienne le cadre est agréable et …

Comme l’ancienne la cuisine est toujours aussi bonne.

… et pour cause … c’est toujours le même patron.

 

Restaurant - Brasserie

Ouvert tous les jours, sauf le Mardi, de 11 heures à tard le soir.

 

L’ adresse :

69/5 Kotchasarn Road (ถนนคชสาร)

Tél : +66 (0) 83-7626065 C'est à Jean que vous parlerez

Tél : +66 (0) 86-9181023 C'est à Yhang que vous parlerez.

laterrassechiangmai@gmail.com

Informations & plan : facebook.com/laterrasse

 

Motorisé, on ne peut se rendre à la terrasse que par le boulevard extérieur de la ville intra-muros. De ce fait, venant de la place Thapae, dès que vous avez traversé la rue Loï Khro, 10 mètres plus loin environ, juste avant la pharmacie, vous prenez la 1ère soï sur votre gauche (Sur votre droite il y a la douve.), L’impasse donne sur le restaurant et uniquement le restaurant, une jolie maisonnette à la française précédée d’un espace de verdure d’où s’élève un magnifique arbre. Les voitures ne peuvent pas s’y garer.

 

Par contre les voitures peuvent se garer dans le parking de la librairie DK BOOK. Les places ne manquent pas. Mais … attention le parking ferme à 22 heures.

  

Menu du jour à 295 ฿, (6,55 €) (Entrée – plat – dessert)

Plats du jour entre 160 à 320 ฿ (3,50 à 7,11 €)

Service à la carte avec des prix qui vont de 110 à 130 ฿ (2,44 à 2,88 €) pour les salades, assiettes pour tartines (fromages-jambons) 50 à 195 ฿ (1,10 à 4,33 €) pâtés 190 à 290 ฿ (4,22 à 6,44 €) et les plats, magret de canard (295 ฿) (6,55 €) bavette (350 ฿) (7,77 €) desserts de 60 à 190 ฿ (1,33 à 4,22 €)

 

Les apéritifs vont de 80 à 120 ฿ (1,77 à 2,66 €) les bières de 70 à 120 ฿ (1,55 à 2,66 €)

Les vins de 830 à 1650 ฿ (18,44 à 36,33 €) la bouteille ou 140 ฿ (3,11 €) le verre, 250 ฿ (5.55 €) les 25 cl. 490 ฿ (10,88 €) les 50 cl. Vous pouvez aussi dîner au champagne Drappier ?!... 3.600 ฿ (80 €) la bouteille.

 

 

La (nouvelle) Terrasse se constitue de deux salles spacieuses et très accueillantes, l’une fermée et l’autre en … terrasse. La salle intérieure fait penser à une maison bourgeoise où les heures s’égrènent au fil du temps et en prenant leur temps, alors qu’au dehors, la terrasse a un côté plus décontracté faisant penser à une cabane de jardin aménagée avec simplicité mais rigueur et bon goût, pour recevoir des amis, un soir d’été.

 

Ce serait un crime de lèse majesté que d’oublier les toilettes. Les lieux sont spacieux et méritent une visite, rien que pour le coup d’œil. La gent féminine ne manquera pas de s’y refaire une beauté après dîner, rien que pour le plaisir.

 

Sur les murs de la terrasse, de la Terrasse, les spécialités du chef sont affichées. Hélas l’anglais vient dénaturer le nom de nos bons  plats … made in France.

 

A noter que les charcuteries, le pain et les pâtisseries sont faits … maison !... Compte tenu des autres plats, tout ça fleure bon le terroir !...

 

Avant de rédiger cette chronique, pour la première Terrasse, je m’étais rendu plusieurs fois à la Terrasse, l’ancienne. La première fois je me suis laissé avoir par la grandeur des assiettes, on aurait dit des plats. Alors un plat m'aurait suffit, car ils sont copieux et la quantité du met est très respectueuse de la qualité.

 

Amateur de rillettes je n'ai pas pu résister, d'autant que le pain me rappelait celui de mon enfance, le gros pain de quatre livres. C'était croustillant et savoureux à souhait, un plaisir pour le palais !...

 

L’assortiment de rillettes aurait fait mon repas, mais j’avais aussi commandé un magret !... que je n’ai pas eu à regretter. Portion de magret respectable, pommes de terre rissolées à point, sauce délicieuse. Bref un plat bien garni et qui s’est laissé … boire comme du petit lait. Depuis j’ai découvert la bavette, une viande fondant dans la bouche et … les spaghettis carbonara. (En tête des quatre restaurants, que je ne nommerai pas, où j’ai testé leur spaghettis carbonara.)

 

Bref, le choix ne manque pas, et la viande est de qualité, j’en veux pour preuve la bavette.

 

A la nouvelle Terrasse la cuisine est tout aussi bonne. Normal puisque le chef est toujours le même … Jean.

 

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Jean est un ch’timi de Calais qui a appris la cuisine avec sa grand-mère et qui semble ne rien avoir perdu de son enseignement. Un bon élève en somme, près de ses fourneaux et qui s’inquiète de l’avis de ses clients.

 

Le service est fait par trois jeunes garçons qui ne font qu’apporter un plus à la Terrasse.

 

L’addition, est sans surprise et servi avec … une bouchée en chocolat ce qui me rappelle les Noëls de mon enfance.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



11/09/2010
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