MUSEE DES MAISONS TRADITIONNELLES DU LANNA (พิพิธภัณฑ์เรือนโบราณล้านนา) 2ème partie
MUSEE DES MAISONS TRADITIONNELLES DU LANNA
(พิพิธภัณฑ์เรือนโบราณล้านนา)
TRADITIONNAL HOUSE MUSEUM
- Deuxième partie -
Adresse officielle : 239, Huay Kaew road – 50200 Chiang-Mai
Adresse de fait : Canal road (*) (Bien regarder le plan.)
Téléphone : 66.53.943.624 – 625 et 626
E-mail : artculture.cmu@gmail.com
Site : http://art-culture.cmu.ac.th
(*) Si vous venez de la rue Suthep : prendre sur la droite la rue Nimmanhemin et contourner le parc du Centre d'Art et rouler sur le bas côté de la Canal road jusqu'au portail.
Si vous venez de la rue Nimmanhemin : prendre la dernière rue sur votre droite et …contourner le parc du centre d'Art et ….. Il y a un parking.
Le centre d'Art et le musée communiquent … tout du moins pour le moment.
Musée ouvert tous les jours sauf les jours fériés.
Du Lundi au vendredi de 8 heures 30 à 16 heures 30 et
Du samedi au dimanche de 9 heures à 16 heures 30
Entrées : Adultes : 20 baths – Etudiant : 10 bahts – Enfant de moins dix ans : Gratuit.
C'est tout à fait par hasard que j'ai découvert le musée des maisons traditionnelles du Lanna. Et je loue ma curiosité d'avoir poussé mes pas jusqu'à cet endroit.
Tout a commencé par une petite visite au Centre Culturel de l'Université de Chiang-Mai. Cette précision pour vous signaler que ce musée se situe tout à côté, sur la même parcelle de terrain.
J'allais pour partir quand, un peu plus loin, mais dans le même parc, des banderoles de couleur attirèrent mon attention. Quelque chose de festif couvait sous cendres. Alors je ne pouvais pas m'en aller sans aller voir ce qui se passait et … bien m'en a prit.
A l'intérieur d'un parc, contigu au Centre Culturel de l'Université de Chiang-Mai se dressaient des stands destinés à initier les écoliers de la ville et des environs aux différents artisanats du Lanna.
Mais dans ce parc, contigüe à des stands, s'élevaient majestueusement, et dans un espace aménagé quelques antiques demeures traditionnelles du Lanna. Je n'en revenais pas !...
Alors pour savoir où je me trouvais, j'ai fait le tour du parc et j'ai fini par découvrir un deuxième accès, tout aussi discret que le premier, mais à la différence qu'en suivant le chemin extérieur au parc, qui aboutissait à cette issue, une superbe entrée s'offrit à ma vue.
Cette entrée débouche sur une voie rapide à sens unique, la canal road, ce qui signifie qu'on ne peut pas entrer sur cette voie en venant de Suthep road, à moins d'avoir un faible pour les collisions.
LA VISITE :
Il y a au total dans ce parc 9 constructions en bois dont 7 habitations et 2 granges ou greniers. Cependant un bâtiment maçonné, hors du parc mais s'érigeant tout à côté de l'entrée officielle est à prendre en compte. C'est la maison coloniale, qui bientôt sera une des pièces visitable de ce musée. Il ne faut pas la confondre avec une nouvelle construction, de style colonial elle aussi, mais destinée à recevoir les services administratifs du musée dans un avenir proche. (Photo n°2 ou photo marquée 1, ci-dessus).
RESUME PHOTOS DE LA 1ère PARTIE
PREMIERE et DEUXIEME ETAPE :
Photo 1 : La maison coloniale Lugn Que : (??????????? ou ???????????)
Photo 2 : Le Grenier à riz (???????) (?????????????)
Photo 3 : La maison de Phaya Pong Lanka : (???????????????)
TROISIEME et QUATRIEME ETAPE :
Photo 1 : Le grenier près de la maison Kalae oui Pad (???????) (????????????????)
Photo 2 : La maison Kalae oui Pad (???????) (????????????????)
Photo 3 : La maison Kalae Phaya Wong (????????? ???????)
CINQUIEME ETAPE :
La maison ''Oui Keaw'' : (??????????????????? - ????????)
Historique de la maison ''Oui Keaw'' : (??????????????????? - ????????)
Cette maison ou ''Ruan Oui Kaew'' (????????) a été bâtie lors de la seconde guerre mondiale, de ce fait en 2013 elle avait 70 ans d'âge.
Elle s'élevait à l'extérieur de Chiang-Mai intra-muros, tout à côté de la douve, et appartenait à deux vieilles dames, Mamie Oui Keaw (????????) et Mamie Oui In (????????) qui l'habitaient de conserve.
Une quarantaine d'années plus tard tout donnait à penser que cette maison allait être détruite. Alors en 1987, le professeur Vithi Phanich Phant (????? ?????? ????? ?????) avec l'aide de la fondation de l'Université Seika de Kyoto au Japon a acheté cette maison que les propriétaires occupaient encore.
Après l'achat, alors que la mamie Oui In emménagea dans une nouvelle demeure construite par ses enfants, la mamie Oui Kaew préféra rester dans ''sa'' maison jusqu'à la fin de ses jours. Quand elle quitta notre monde, en 1997, la maison fut démontée et remontée dans le parc de l'Université où elle se trouve actuellement.
Photo 1 : Vue des deux corps de bâtiments depuis le hall d'entrée. Sur la gauche il y a l'autel des ancêtres. Il n'est donc pas dans l'une des deux pièces. La gouttière centrale ou ''honerine'' (???????) ressort très bien sur la photo.
La porte d'entrée du bâtiment de droite donne dans le couloir qui conduit au fond de la maison. Au fond du couloir, sur la gauche on aperçoit la porte de la cuisine (… et non plus pièce de cuisson – progrès oblige.) qui donne sur un escalier conduisant hors de la maison. La cuisine se trouve sur la droite.
Photo 2 : Une partie de la cuisine.
Description de la maison Oui Keaw : (??????????????????? - ????????)
Cette maison de 9 mètres sur 12, repose sur 5 rangées de 5 pilotis de 80 centimètres de haut. (Chiang-Mai est construit sur un terrain en pente, si la maison était au nord de la ville les risques d'inondations y étaient réduits. Alors avec des pilotis de seulement 80 cm. les vieilles dames avaient moins de marches à monter ?!... )
Elle est aussi constituée de deux corps de bâtiments dont celui de gauche est légèrement plus conséquent que celui de droite.
La véranda et la terrasse avant, dont la rambarde a été remplacée par un mur à claire voie, ont été transformée en une espèce de hall d'entrée.
Un genre de … ''cagibi'', faisant fonction de pièce de cuisson voire de cuisine, a été rajouté à l'arrière de la maison. Les murs ne sont pas en bois de teck mais en lamelles de bambou tressées. Là encore un escalier arrière permet l'accès direct à cette pièce de cuisson.
Remarque :
Par tradition, un étranger ne pouvait entrer dans une demeure que par l'entrée de devant, mais … seulement après que le maître des lieux en eût demandé l'autorisation aux ancêtres en leur brûlant quelques bâton d'encens.
SIXIEME ETAPE :
La maison du district de Mae Taeng (???????????????????)
Historique de la maison du district de Mae Taeng (???????????????????)
Cette maison vient du petit village de ''Ban Pa Phai'' (???? ??????) dans le sub-district de Chorlae (???? ?????) et du district de Mae Taeng (????? ??????). Elle était située à une trentaine de Kilomètres de la porte Chang Phuak, la porte nord de Chiang-Mai et vraisemblablement sur un terrain dont l'altitude est supérieure à celle de Chiang-Mai, car c'est une région montagneuse.
Les deux propriétaires connus de cette maison qui daterait de 1917, seraient Monsieur ou le père Noï Ping (??? ???? ???) et Madame Kan Takham (??? ??? ????).
Elle a été relocalisée dans le parc de l'Université en 2008 avec la participation de la fondation ''Chumbhot-Pantip'' (?????????? ???????).
Description de la maison du district de Mae Taeng (???????????????????)
Cette maison de 13 mètres sur 9/10 mètres, repose sur 5 rangées de 5 pilotis de 1,80 mètre de haut.
Elle est aussi constituée de deux corps de bâtiments dont celui de droite est légèrement plus grand que celui de gauche.
La véranda ou ''rabiagn'' (???????) occupe toute la façade de la maison. Elle est couverte d'un petit toit spécifique rapporté (???) auquel se surajoute, quelques vingt centimètres plus bas, un autre pan de toit qui couvre une petite terrasse faisant corps avec la véranda.
A l'entrée de cette terrasse, sur la gauche, se trouve une petite plateforme couverte abritant deux cruches d'eau ; et sur l'un des murs de la véranda a été fixé un autel pour célébrer les esprits, ces deux particularités relèvent des us et coutumes du Lanna.
La pièce de cuisson est encore placée à l'arrière de la maison et un escalier particulier permet son accès. Il s'agit là encore d'une pièce dont les murs sont constitués de tresses et qui est indépendante, mais accolée, du reste de la maison.
La couverture des toits est en tuiles de terre cuite.
A noter que, comme dans toutes les autres maisons, seules les pièces des corps de bâtiments sont équipées d'une porte pleine. Les portes en haut des deux escaliers conduisant à la demeure sont basses, à claire-voie et franchissables d'une seule enjambée.
SEPTIEME ETAPE :
La maison Pan-Ya (Anusarn Sunthorn) (???????????? – ???????????)
Historique de la maison Pan-Ya (Anusarn Sunthorn) (???????????? – ???????????) :
Cette maison a été construite en 1924 à la demande de Luang Anusarnsunthorn (???????????????) (*) et de Madame Chutima Khamtieng (*) (??? ???????? ??????) qui deviendra Khamtieng Anusarnsunthorn, pour offrir à leur enfant Monsieur le docteur Yon Chutima (??? ????? ???? ??????).
Le titre de Luang, et les noms de famille des deux parents, qui sont aujourd'hui des noms de lieux dits à Chiang-Mai, indiquent que ce sont des personnes appartenant à la très haute société d'alors. De fait la maison a des allures de maison … ''aristocratique'' et non plus … bourgeoise qui flirt avec le style colonial d'alors. Par la suite, fin XXe siècle les constructions en dures ont pris le relais de ce genre d'habitat.
Elle aurait été donnée à l'université de Chiang-Mai par les descendants du docteur en 2004.
Cette fois encore les frais de relocalisation ont été pris en charge par la fondation ''Chumbhot-Pantip'' (?????????? ???????).
(*) Luang Anusarnsunthorn (???????????????) (1867-1934) de son nom d'origine Sun Hee Chua Yong Seng (??????? ?????????) fut tout à la fois un très riche commerçant et un philanthrope très avisé. Chiang-Mai lui doit beaucoup, ainsi qu'à ses descendants dont les noms de Nimmanhemin et Chutima sont attachés à de nombreuses fondations. Il existe en l'université Rajabhat (??????????? ??????) une ''maison Anusarnsunthorn'' (????????????????) en bois de teck de style Lanna de très haute gamme.
Description de la maison Pan-Ya (Anusarn Sunthorn) (???????????? – ???????????)
Cette maison de 20 m. sur 15, y compris la terrasse, possède à l'arrière de son côté droit une dépendance de 7m. x 6 relié au sol par un escalier extérieur qui lui est propre.
La maison Pan-Ya marque un tournant dans l'architecture du Lanna, car elle emprunte au style colonial, tant extérieurement qu'intérieurement et, dans l'emploi de certains matériaux d'assemblage comme les pointes et les boulons qui alors, ont remplacé les chevilles.
Avec elle, une nouvelle technologie, et un nouveau mode de conception architecturale font leur apparition.
La construction en bois de teck se constitue d'un corps de bâtiment à base rectangulaire d'environ 10 mètres sur 15, comportant deux niveaux, un rez-de-chaussée et un étage.
Une terrasse couverte, prolonge le plancher de l'étage sur trois de ses côtés. Elle est soutenue par des poteaux de 2 mètres de haut. Ces poteaux sont ouvragés, et non plus bruts, et de section carré.
Un grand toit, à quatre pans, où Il serait difficile d'y mettre un Kalae, couvre l'ensemble. ?!...
Enfin, intérieurement, la pièce du rez-de-chaussée à des portes ouvrant sur le parc, elle est donc habitable malgré les risques d'inondation, (*) et un escalier intérieur permet l'accès à l'étage. Cet étage comprend deux salles.
Ces trois espaces aux murs lisses, sont spacieux, sans pilier de soutènement et reflète un art de vivre de qualité.
(*) La rivière Ping, qui coulait à une centaine de mètres de cette maison, n'était pas sans sortir de son lit. De nos jours l'alliance Française qui est du même style et qui n'a pas été relocalisée, connaît de temps à autres les désagréments des débordements du Ping.
HUITIEME ETAPE :
La maison Thaïe Lue (???????????) (????????) :
Historique de la maison Thaïe Lue (???????????) (????????) :
Cette maison a été construite vers 1917, dans le district de Doï Saket (????? ?????????). Tous les bois qui la constituent sont des éléments de récupération provenant d'habitats désaffectés.
Son bâtisseur et propriétaire, Monsieur ou le père (L'ancien) Noï Luang (???????????) ainsi que son épouse Madame Tut ou Mon Tut (???????????) étaient des t'ais Lue-s. (*).
Après le décès de son mari à l'âge de 80 ans, Madame Mon Tut fut assistée par sa petite fille. D'un commun accord elles vendirent cette maison à Ajarn SiriChaï Narumitrekhakan (??? ??????? ????????????) en 1990. Mais sa délocalisation ne se fit qu'en 1993, deux après le décès de Dame Mon Tut qui s'est éteinte à l'âge de 107 ans.
Les frais de cette délocalisation furent pris en charge par la fondation ''Chumbhot-Pantip'' (?????????? ???????).
(*) Les T'ais Lue-s (Lü – Ly) sont une ethnie T'ai (et non Thaïe) originaire du sud de la Chine (Yunnan), et plus particulièrement du Sipsongpanna ou xishuangbanna. Alors de deux choses l'une, ou ce couple descend d'ancêtres qui ont migré voici quelques 6 ou 7 siècles au Lanna, ou leurs parents ont été ''importés'' manu militari (Une déportation à l'envers.) en 1805 ou 1809 (Il y en a eu deux.) sous le règne de Kawila (1742-1815) afin de repeupler le Lanna, que les Birmans avaient … dépeuplé en déportant les populations du Lanna du côté de Mandalay … entre autres sites birmans.
Description de la maison Thaïe Lue (???????????) (????????) :
Cette maison de 13 mètres sur 18, repose sur 48 pilotis de 2 m de haut.
Elle ressemble à la maison kalae mais n'en a pas toutes les caractéristiques, et de loin s'en faut.
Comme elle, elle se constitue de deux corps de bâtiment mais qui sont accolés et non séparés par un couloir.
Le plus important, d'une surface de 11 mètres sur 7 sert de chambre à coucher que des rideaux en tissu peuvent partager en deux, tant en longueur qu'en largeur. Une porte donne sur la véranda et une autre communique avec l'autre corps de bâtiment. Elles sont sans hamyon.
L'autre corps de bâtiment, d'une surface de 5 mètres sur 5 sert de cuisine. En plus de la porte permettant la communication entre les deux corps de bâtiments, deux autres portes y donnent accès, une depuis la véranda avant et une depuis la véranda arrière.
La véranda, d'une largeur de 4 mètres en façade, se poursuit jusqu'à l'arrière de la maison en ceinturant la cuisine. Elle est couplée avec deux petites terrasses, une à l'arrière et une à l'avant où a été construit un ''Harn-name'' (???????) ou ''Name-bouei'' (??????) c'est-à-dire une étagère à eau pour désaltérer les voyageurs et ceux qui ouvragent à de menus travaux en véranda.
Les tuiles sont en bois.
NEUIVIEME ETAPE :
Le parc est planté d'arbres dont certains méritent un arrêt, en particulier l'arbre venant du Sri Lanka un ''oak du Ceylan'' magnifique qui, paraît-il serait de bon augure ?!...
Tout ce qui venait du Sri Lanka était alors sacré … bouddhisme oblige.
Au Lanna on ne plante pas n'importe quel arbre autour d'une maison ; et surtout, quand on en plante un, on ne le plante pas n'importe où, mais dans une direction déterminée et selon des rites bien précis.
En fait cet arbre n'est qu'une espèce de ''quercus'' c'est-à-dire de … chêne ; autrement dit un arbre dont l'ancêtre venait vraisemblablement d'Europe. Sur les côtes Indiennes certains font figure de buisson, car le climat ne leur convient pas, mais plus on monte en altitude et plus l'arbre retrouve les caractéristiques de ses ancêtres européens.
De ce fait ils ne sont pas rares au Lanna où leurs fruits aigres étaient autrefois mangés, et l'huile de leurs graines utilisée pour traiter la chute des cheveux.
Le tronc de cet arbre, à un mètre de hauteur, est affecté par une plaie ouverte et vraisemblablement profonde, d'environ 15/20 centimètres de long sur 3 ou 4 de large.
Il n'en fallait pas plus pour qu'il soit proposé aux visiteurs de lancer dans cette cavité une pièce d'un bath qui doit lui porter chance, à la condition de viser juste. Car dans le cas contraire le mauvais tireur n'a plus qu'à aller faire un somme pour éviter les désagréments liés à sa maladresse.
CONCLUSION :
La visite express de ce musée doit prendre tout au plus une heure sauf si vous portez plus d'intérêt que le commun des mortels à ces constructions, car il y a beaucoup plus à voir et à apprendre qu'on ne peut imaginer.
Cette fois encore la mise en place de ce musée part d'une heureuse initiative, malheureusement il n'y a pas un vrai projet culturel et une organisation concertée.
Par exemple, si à son arrivée le visiteur est accueilli courtoisement, aucune information ne lui est donnée. Parfois il trouve même les maisons fermées, dommage !... (J'y suis allé quatre fois pour écrire cette chronique alors je sais de quoi je parle – n'hésitez pas à faire ouvrir les maisons si elles sont closes.)
Par ailleurs, ces maisons ne sont pas mises en valeur. Pourquoi ne pas les faire vivre, les resituer dans ce que fut leur cadre quotidien, faire que le visiteur pénètre dans la vie privée des gens de ces époques.
Comment ces gens se lavaient-ils ?...
Dans une pièce extérieure à la maison !... il n'y en a pas.
Où puisaient-ils leur eau ?... Dans un puits ?... une rivière ?...
Quelles étaient les plantes de bon augure ?... Etc… etc …
Il aurait aussi fallu construire auprès de ces maisons des maisons plus modestes habitées par des gens d'un niveau social moins élevé. Le Lanna est multiple et divers. Sa société était, et est toujours, une société de classes !... or le mode de vie des moins aisés est aussi intéressant culturellement que celui des plus riches.
Bref !... un petit bijou dans un bel écrin, mais qui manque d'un vrai concept culturel, et dont rien n'est fait, ou si peu, pour attirer un public digne de ce nom.
Néanmoins n'hésitez pas à aller y faire un tour, car il en vaut la peine et tout à côté, au centre d'Art, il y a – peut-être – une exposition ?!...
C'est alors l'occasion de faire d'une pierre … deux coups !...
Photo 1 & 3 : Deux œuvres aux traits et au crayon noir dont vous devez avoir devinez les titres de 37 x 55 centimètres de : Chokanan Wanitlertthanasarn (????????? ?????????????????) (Exposition du Clubnapralan – Fondation Toshiba)
Photo 2 : Madame ou Nang Tut ou Nang Mon Tut (???????????) à la fenêtre de sa maison, la maison … Thaïe Lue (???????????) de cette chronique.
Il y a aussi une troisième partie concernant les rites qui précèdent la construction d'une maison, et les arbres qu'il convient de planter autour d'une maison pour attirer les bons augures.
Elle est classée dans la rubrique :
03 – CULTURE & TRADITIONS
Sous le titre de :
MAISON KALÊ (1/2) : RITES précédant sa construction.
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